INFIRMIERS LIBÉRAUX, oui depuis près d'une décennie, ces bureaucrates
de l'assurance maladie poursuivent leurs fausses accusations, dénonciations calomnieuses,
mensonges et abus de pouvoir, en se rendant coupables de manœuvres frauduleuses ou escroquerie en bande
organisée.
Des bureaucrates qui se terrent dans les départements, dans des
bureaux directoriaux de Cpam gardés par des troupes d'agents de sécurité.
Des scribouillards devenus au détour de réorganisations, des cadres
de direction, cadres administratifs en quête d'évolution de carrière et de
privilèges à l'image de ces grands patrons de l'assurance maladie ayant réussi
avec brio leur passage dans les sphères des grandes entreprises du privé.
Ces coupables du harcèlement, du burn-out et de la souffrance d’un
très grand nombre d’infirmiers libéraux (pourquoi cette profession, un sujet à étudier plus tard), ces coupables seront-ils bientôt inquiétés de voir se
renverser contre eux les accusations mensongères qu'ils n'ont de cesse de réinventer
?
Accusations de fraude ou d’escroquerie pour simplement être soupçonné
de n’avoir pas respecter la pointeuse qui aurait du enregistrer entre l’arrivée
chez le patient et le départ ½ h pleine ou pour avoir travaillé un nombre d’heures
supérieur à ce que les Cpam ont réussi à faire dire à un juge assis dans son
fauteuil.
Ces infirmières ou infirmiers victimes des injustices et des abus
des caisses d’assurance maladie, celles ou ceux qui ont vu subitement leur avenir se détruire et leur vie familiale
en supporter les conséquences, retrouveront-ils la force de débusquer ces
coupables, déposer des plaintes et les traîner devant les tribunaux ?
Humiliés et rangés au banc
des accusés, mis en difficulté financière voire ruinés dans certains cas,
contraints d’exercer dans des conditions extrêmement pénibles, le temps leur
manque et le courage aussi pour engager une bataille contre leurs prédateurs.
Après la surprise et le désarroi, dans certains cas l’anéantissement
dans les médias puis la lapidation par les autres et les confrères qui se
disent irréprochables, aucun n’a encore retrouvé confiance pour crier sa colère
d’être la victime (et non coupable) d’une
armée d’escrocs au col blanc usant de tous les subterfuges puisés dans la Ngap
ou dans de mauvais accords conventionnels.
Parmi tous les avocats chargés des nombreux dossiers des
infirmiers libéraux en conflit avec les caisses d’assurance maladie, certains
plus exercés aux procédures pénales seraient-ils prêts à engager un
retournement de situation ? :
Les infirmiers libéraux ne sont pas des coupables à défendre mais
des victimes demandant que les coupables dans les Cpam soient confondus.
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